- 12 mars 2025
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Je suis Maîtresse LADY GEORGIA, dominatrice passionnée par le monde BDSM, et fétichiste du cuir, du vinyle, des chaussures et des bas nylon, J’ai un donjon dans le var et je reçois aussi dans mon donjon Parisien.
Depuis combien de temps pratiquez-vous le BDSM en tant que dominante ?
« J’ai découvert ce monde, il y a 15 ans environ. Je préfère le titre de dominatrice plutôt que dominante car il me correspond mieux. »
Quels sont vos limites en tant que dominatrice ?
« Je n’accepte pas la Scato et la zoo. »
Quels sont vos objets préférés pour la domination ?
« Mes mains incontestablement. »
Comment préparez-vous une séance de domination ? Où ?
« Je fonctionne au feeling, donc il n’y a pas vraiment de préparation pour une séance. Mon donjon est toujours prêt et moi aussi ! »
Comment choisissez-vous vos soumis/es ?
« Je parle beaucoup avant de les rencontrer. J’ai besoin d’être en phase avec eux et que nous ayons la même vision de la domination et du fétichisme. »
Quels rituels ou règles imposez-vous à vos soumis/es ?
« Je tutoie mes soumis et ils me vouvoient toujours. Ils n’ont le droit de me toucher que les pieds. »
Comment gérer les limites et les désirs de vos soumis/es pendant une séance ?
« L’habitude, le ressenti, et, encore une fois, la discussion avant un rendez-vous pour avoir l’état d’esprit du Soumis. »
Quels sont vos projets ?
« Je n’ai pas vraiment de projets. Je navigue entre le Var et Paris (une semaine par mois) où j'ai aussi un donjon. J’aime ce changement d’atmosphère.”
Quelles sont vos marques préférées d’accessoires et tenues? Comment avez-vous connu la marque Catanzaro ?
« Pour mes tenues, incontestablement Catanzaro, et ce, depuis très longtemps. J’ai connu Patrice, il y a des années. Il reste un créateur hors-pair, passionné et tellement créatif !. Le relais est bien assuré par ses filles ! Évidemment Louboutin, pour les chaussures, étant très fétichiste des chaussures. »
Votre entourage vous a-t-il soutenue dans votre choix de métier/vie ?
« Je ne cache pas du tout mon métier et j’en suis fière. Mes enfants, ma famille et mes amis sont au courant et sont aussi fiers de mon activité. »
Au cours du temps, nous voyons qu’en France, il y a de moins en moins de tabou sur le BDSM, vos services sont-ils donc plus demandés ?
« Internet a démocratisé le BDSM et c’est bien. Mais le bien est l’ennemi du mal parfois, malheureusement, avec Insta, Mym, X, etc.. qui ne véhiculent pas toujours une bonne image. Beaucoup de filles pensent qu’il est facile de dominer un homme, le plus dur est de le faire dans la durée. Il faut se connaître, connaître les hommes et le corps humain afin de faire rêver et de faire vivre des moments hors normes: les fameux fantasmes… »